Les Décodeurs Atlantic

Tous les jours avec Franck Mathiau, Les Décodeurs Atlantic mettent l’actualité en perspective. Info commentée, points de vues éclairés, confrontation d’idées. Economie, politique, société, sport et culture…
Franck Mathiau
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Replays
00H47m
Deux mois après les manifestations de la GenZ 212 : qu’ont-elles vraiment changé ?

Premier sujet :

Il y a deux mois, les manifestations menées par le collectif GenZ 212 ont surpris par leur ampleur et leur organisation 100% numérique. Des milliers de jeunes Marocains, coordonnés en ligne, ont exprimé un ras-le-bol profond : un sentiment d’injustice générationnelle, le manque de perspectives, et la conviction que certaines priorités nationales — notamment les investissements liés au Mondial 2030 — ne répondent pas à leurs urgences : éducation, santé, emploi, corruption.

Mais deux mois plus tard, une question domine : qu’est-ce que ce mouvement a réellement apporté ?

A-t-il laissé une trace durable dans le débat public, les orientations budgétaires ou les politiques publiques ? Ou n’a-t-il été qu’un sursaut ponctuel ?

Invités Ismail Bargach, cofondateur de WafR et Abdelghani Youmni, économiste, spécialiste des politiques publiques.

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Deuxième sujet : Inflation en baisse : les Marocains vont-ils vraiment retrouver du pouvoir d’achat ?

L’inflation est enfin retombée au Maroc. Les prix augmentent moins vite, les tensions sur certains produits se stabilisent, et les indicateurs officiels parlent d’un retour à la normale. Sur le papier, c’est une bonne nouvelle. Mais dans la vie quotidienne des Marocains, une question persiste : si l’inflation baisse, pourquoi ne sent-on toujours pas d’amélioration dans le porte-monnaie ?

Car la réalité, c’est que la baisse de l’inflation ne signifie pas que les prix redescendent, seulement qu’ils augmentent moins vite. Or, après deux ans de hausse quasi continue, les ménages restent sous pression : alimentation, logement, transports, services… le coût de la vie reste élevé.

Autre enjeu : les salaires, eux, ne suivent pas au même rythme. Et malgré les révisions du SMIG, des mesures de soutien et les négociations sociales, la hausse du revenu disponible reste limitée pour une grande partie de la classe moyenne et des foyers modestes.

Alors aujourd’hui, on pose la question centrale : le Maroc entre-t-il dans une vraie phase d’amélioration du pouvoir d’achat, ou dans une simple accalmie statistique ?

Et surtout : qu’est-ce que cela va changer — ou ne pas changer — pour les ménages ?

jeu. 27 nov. 2025
00H45m
Faut-il faire confiance à l’IA dans les RH de nos entreprises ?
Premier sujet : 
L'intelligence artificielle (IA) transforme profondément les ressources humaines au Maroc. Entre automatisation du recrutement, outils de présélection, évaluation des compétences, et même prédiction des performances, les RH se réinventent. Pour les entreprises marocaines, l’IA est à la fois une opportunité (gagner en efficacité, réduire les coûts, améliorer la qualité des embauches) et un enjeu humain (biais, formation, acceptation par les équipes).
Invités : Hafid Boutaleb, expert en relations internationales et Karim Banaoui, CEO de Link Up Value
Deuxième sujet : Ukraine- Russie : qui pilote vraiment les négociations de paix ?
Nouveau rebondissement autour du plan de paix pour l’Ukraine. La semaine dernière, Donald Trump avait proposé un texte en 28 points, très favorable à Moscou. Mais après révision par les Européens et l’Ukraine, le document ne compte plus que 19 points… et cette nouvelle version est jugée inacceptable par le Kremlin
mer. 26 nov. 2025
00H44m
IA, un véritable accélérateur économique, numérique et sociétal pour le Maroc ?
Premier sujet : 
Comment l’intelligence artificielle peut devenir un véritable accélérateur économique, numérique et sociétal pour le Maroc ? Avec son partenariat stratégique avec Mistral AI, le Royaume veut former des jeunes talents, développer ses propres solutions d’IA et renforcer ses infrastructures numériques pour gagner en souveraineté. L’objectif est clair : faire du Maroc un hub africain de l’innovation et un acteur crédible en Méditerranée. Mais pour réussir, il faudra transformer l’essai : plus de compétences, plus de data centers, et une stratégie solide pour retenir les talents.
Avec Taïb Aisse, expert financier et économique 
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Deuxième sujet :
Le “Made in Morocco” n’est plus seulement un slogan : c’est désormais un outil politique, économique et stratégique au service de la souveraineté industrielle du Royaume. Avec le lancement du nouveau label officiel, le gouvernement veut structurer et valoriser la production nationale, renforcer la confiance dans les produits marocains, pousser l’investissement local et soutenir les chaînes de valeur.
Mais pour transformer cet élan en montée en gamme durable, plusieurs défis restent ouverts : qualité, innovation, export, compétitivité, transparence et ancrage territorial.
Le “Made in Morocco” peut-il devenir un vrai moteur de transformation industrielle, et pas seulement un argument marketing ?
Zouhair Lakhdissi, consultant digital et entrepreneur tech
mar. 25 nov. 2025
00H51m
PME & ETI : moteurs silencieux de l’économie, mais à quel prix ?
Premier sujet :
Elles ne font pas toujours la une, mais elles irriguent l’économie du pays. Les PME et les entreprises de taille intermédiaire représentent la grande majorité du tissu productif, portent l’innovation de proximité et assurent une part essentielle de l’emploi. Pourtant, derrière cette apparente vitalité, ces entreprises font face à des vents contraires qui interrogent : accès au financement, transition numérique encore inaboutie, difficultés de recrutement, pression réglementaire, sans parler de la capacité à tenir dans un environnement où les coûts grimpent et où les marchés se tendent.

À l’heure où les grands groupes concentrent souvent l’attention, comment ces acteurs plus modestes — mais tout aussi stratégiques — peuvent-ils réellement grandir, se transformer et peser dans la compétition économique ? Qu’est-ce qui freine leur montée en puissance ? Et surtout, quelles solutions concrètes existent pour libérer le potentiel de ces moteurs souvent silencieux de la croissance ?
Invités: Hicham El Bayed, professeur d’économie et Mehdi Alj, expert en stratégie, organisation et performance, fondateur d’Innolia
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Deuxième sujet : Fuite des cerveaux : comment retenir les talents marocains ?
Le Maroc voit partir de plus en plus de talents qualifiés : médecins, ingénieurs, techniciens, chercheurs, étudiants brillants… Une dynamique qui s’accélère et qui pose une vraie question de souveraineté. Car si ces profils choisissent l’étranger pour de meilleures conditions de travail, des salaires plus attractifs ou des perspectives de carrière plus rapides, leur départ laisse des secteurs clés sous tension : santé, numérique, recherche, enseignement supérieur.

Pourquoi le pays n’arrive-t-il plus à retenir ses compétences ? Quelles conséquences pour l’économie et pour les services publics ? Et surtout, que faudrait-il mettre en place pour stopper cette fuite et redonner envie aux talents de construire leur avenir ici ?
lun. 24 nov. 2025
00H46m
Classement des 200 premières PME/TPE marocaines...
À l’occasion de la sortie des “200”, le classement des 200 premières PME marocaines, un classement réalisé par INFORISK pour l’Economiste, journée spéciale PME et TPME sur Atlantic Radio. Les PME et TPE : colonne vertébrale de l’économie marocaine, mais toujours en quête d’un vrai décollage.
À un an des élections, alors que le PLF 2026 promet soutien, fiscalité allégée et mesures pour l’emploi, la réalité sur le terrain reste contrastée : accès au financement difficile, retards de paiement qui asphyxient les trésoreries, transformation numérique inégale, pression fiscale ressentie, manque d’accompagnement dans certains secteurs…
Peut-on parler d'amélioration concrète ?
Les promesses budgétaires sont-elles à la hauteur des enjeux ? Et surtout : que faudrait-il pour créer un environnement réellement propice à leur croissance, à l’innovation et à la création d’emplois ?
Avec Aziz Saidi, journaliste et Mohamed Douyeb, journaliste et fondateur de Le Média
ven. 21 nov. 2025
00H45m
Le Maroc appelle à un compromis ambitieux et juridiquement solide autour de l’article 9.1 de l’Accord de Paris
Premier sujet : 
Alors que la présidence brésilienne de la COP30 tente de rapprocher des positions encore éloignées sur le financement climatique, le Maroc a appelé, lundi à Belém, à un compromis ambitieux et juridiquement solide autour de l’article 9.1 de l’Accord de Paris. Dans une intervention, Rachid Tahiri, responsable des changements climatiques au ministère de la Transition énergétique et du Développement durable a appelé à « lever les derniers blocages » et à instaurer des garanties permettant d’engager, sans préjudice, des discussions substantielles sur l’article 9.1, qui encadre l’obligation légale de soutien financier des pays développés envers les pays en développement. 
Les pays du Sud, qui subissent le plus les impacts, obtiendront-ils enfin un rapport de force équilibré ?
Le climat peut-il progresser dans un contexte de guerres, crises et tensions géopolitiques ?
Le débrief du séjour de Hafid Boutaleb à la COP 30 à Belem
Avec Hafid Boutaleb, Analyste géopolitique et Hicham Amadi, PDG de Toogoo

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Deuxième sujet :
Le Maroc face au défi de l’électromobilité : pari industriel, transition écologique et réalités du terrain
Le Maroc s’engage dans un pari ambitieux : devenir un acteur majeur du véhicule électrique, tout en accélérant l’adoption de l’électromobilité chez les particuliers et les entreprises.
Entre investissements industriels, montée en puissance des usines automobiles, stratégie hydrogène, et volonté d’émerger comme hub africain, l’équation semble prometteuse.

Mais sur le terrain, les défis restent nombreux : un réseau de bornes de recharge encore limité, un parc roulant électrique faible, des prix encore élevés, une méfiance des acheteurs professionnels, et un cadre réglementaire encore en construction
Alors où en est vraiment le Maroc ? Le pari électrique est-il réaliste ? Et que manque-t-il pour que les Marocains passent vraiment à l’électrique ?

jeu. 20 nov. 2025
00H44m
Cap au Sud: La régionalisation représente un niveau encore plus élevé de décentralisation...
Premier sujet : Cap au Sud !
“La régionalisation représente le niveau le plus élevé de décentralisation que l’on peut atteindre, sauf dans les États fédérés, et permet aux conseils régionaux de disposer d’une réelle capacité d’action”. C’est Mohand Laenser, le président d'honneur de l'association des régions du Maroc qui s’est exprimé au MD Sahara 2025 qui s’est déroulé à Dakhla du 13 au 16 novembre dernier. L’occasion pour nous, ce matin, de revenir sur ce modèle de régionalisation et de parler du développement et de l’avenir des provinces du Sud.
Avec Hassan Alaoui, directeur de publication de Maroc Diplomatique et Saïd Youssef, professeur d'économie à l'université Hassan 2 de Casablanca
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Deuxième sujet : 
L’emploi, l’un des plus grands défis du Maroc.
À un an des élections, le gouvernement mise beaucoup sur le PLF 2026, avec des promesses fortes : booster l’investissement privé, renforcer l’insertion des jeunes, réduire les inégalités entre villes et campagnes, et encourager l’emploi des femmes.
Mais le chômage reste élevé, surtout chez les jeunes diplômés, les femmes et en milieu rural. Alors la question est simple : le Maroc peut-il sortir de l’impasse ? Et comment ? »
mer. 19 nov. 2025
00H46m
Lla Chambre des représentants a adopté à la majorité le projet de loi de finances n° 50.25 pour l’année budgétaire 2026

Premier sujet : PLF 2026 : À VOTER !

Ce vendredi 14 novembre 2025, la Chambre des représentants a adopté à la majorité le projet de loi de finances n° 50.25 pour l’année budgétaire 2026.

Le texte a reçu l’approbation de 165 députés, tandis que 55 s’y sont opposés — sans aucune abstention.

Au total, la commission des finances et du développement économique a traité 350 amendements : 328 pour la première partie du PLF et 22 pour la seconde.

Quelles sont les principales mesures fiscales qui devraient augmenter ou diminuer les recettes en 2026 ?

Quels secteurs vont contribuer le plus aux recettes de l’État selon ce projet de loi ?

Y a-t-il des nouveautés fiscales majeures ?

Comment est traité le financement de la réforme sociale (AMO, compensation, programmes de soutien) dans ce budget ?

Invités: Mostafa El Jai, professeur d’économie à l'Université Hassan II de Casablanca et Nabil Adel, Enseignant Chercheur à L’ESCA

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Deuxième sujet : Garantir des services publics répondant pleinement aux attentes de l’ensemble des citoyennes et citoyens, c’est l’appel lancé par le chef du gouvernement Aziz Akhannouch en tant que leader du RNI, ce week-end lors de la septième étape de la “Voie des réalisations” du RNI à Casablanca. Le chef du gouvernement est-il en train de venter les mérites et les avancées du PLF 2026, et du travail de son gouvernement ou est-il déjà dans un discours pré-électoral ?

lun. 17 nov. 2025
00H45m
Le projet de loi organique n°54.25, modifiant et complétant la loi organique n°29.11 relative aux partis politiques

Premier sujet : 

C’est une réforme qui pourrait bien rebattre les cartes du paysage politique marocainLe ministre de l’IntérieurAbdelouafi Laftitvient de dévoiler les nouvelles règles encadrant la création et le financement des partis politiquesObjectif affiché: moderniser la vie partisanerenforcer la présence des femmes et des jeunes, et surtout moraliser le financement.

Est-ce que ce nouveau cadre va vraiment dynamiser la vie politique marocaine, ou au contraire freiner la création de nouveaux partis ?

L’obligation d’inclure 20 % de jeunes et 20 % de femmes parmi les fondateurs peut-elle transformer la culture politique des partis ?

En limitant les sources de financement privé, comment les partis vont-ils assurer leur autonomie financière sans affaiblir leur action sur le terrain ?

Karim Barakatallah, Directeur Général de Smartink

Wissam Bouzdaini, rédacteur en chef à Maroc Hebdo

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Deuxième sujet : Agriculture/ Refonte du Code des investissements agricoles…qui datait de 1969 !

Il pleut sur le Maroc, et ces pluies tombent à point nommé pour le monde agricole. L’occasion de faire le point sur un secteur en pleine mutation.

Le Royaume s’apprête à tourner une page importante : celle de son vieux Code des investissements agricoles, en place depuis plus de cinquante ans. Un texte entièrement repensé pour moderniser le cadre du secteur, attirer de nouveaux investisseurs et accompagner les grands défis du moment : la sécurité alimentaire, la gestion de l’eau, la transition numérique et le développement durable.

Pourquoi cette réforme du Code des investissements agricoles arrive-t-elle maintenant, plus de 50 ans après sa création ?

ven. 14 nov. 2025
00H45m
Le textile marocain vit une période charnière...

Premier sujet :
Longtemps fondé sur la sous-traitance pour de grandes marques européennes, le secteur montre aujourd’hui ses limites. Baisse des commandes, disparition de plusieurs enseignes qui fabriquaient au Maroc, hausse de la part de marché de la “fast fashion” chinoise et pouvoir d’achat en berne en Europe : les exportations reculent, et surtout…le modèle s’essouffle.

Le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a appelé, au Parlement lors des discussions du budget sectoriel dans le cadre du PLF à un vrai tournant : produire au Maroc des articles finis, sous marque propre ou via co-production, afin de créer plus de valeur et de sécuriser l’avenir du secteur. Alors, le Maroc peut-il vraiment passer d’un modèle de sous-traitant à celui de créateur de marques ? Quels outils, quels soutiens publics, quelles alliances faudra-t-il pour y parvenir ?

Avec Ismail Bargach, entrepreneur, fondateur de WafR et Hicham Amadi, PDG de Toogo

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Deuxième sujet :
“C'est un moment historique, et nous sommes en train d'assister à la naissance d'un nouveau Maroc” C’est ce qu’a déclaré Nabil Benabdallah au lendemain de la réunion des chefs des partis politiques représentés au Parlement portant sur l’actualisation et la formulation détaillée de l’initiative d’autonomie. Le dossier du Sahara marocain connaît aujourd’hui un nouveau tournant. Après que le Roi Mohammed VI ait lancé une approche participative impliquant tous les partis politiques représentés au Parlement, l’initiative d’autonomie, longtemps présentée comme un cadre de principe, entre dans une phase de formulation détaillée et d’actualisation concrète. Quel est le rôle des partis politiques et de l’approche participative dans ce processus, faut-il étendre ces discussions au Parlement ?Quels sont les défis internes à surmonter pour “imaginer” l’autonomie ?

jeu. 13 nov. 2025
00H44m
PLF 2026 : On avance, on avance…

Premier sujet :

Le PLF 2026 prévoit une hausse marquée des dépenses sociales, des investissements massifs dans les infrastructures, et la poursuite des grands chantiers liés à la Coupe du Monde 2030. Un choix assumé par le gouvernement pour soutenir la croissance et l’emploi… mais qui interroge sur l’équilibre des finances publiques. D’autant que l’agence Fitch Ratings observe attentivement la trajectoire du Maroc : déficit, dette, soutenabilité budgétaire…

Alors, le Royaume peut-il concilier ambition économique et discipline budgétaire ?

avec Taib Aiss, expert financier et économique et Mohamed Douyeb, journaliste, fondateur de Le Média

Et Ali Ghanbouri, économiste à 8h45 au téléphone sur ce sujet

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Deuxième sujet :

Le Roi Mohammed VI poursuit sa volonté d’associer l’ensemble des forces nationales à la révision de l’initiative marocaine d’autonomie en invitant lundi les responsables politiques, les chefs de partis représentés au Parlement. Décryptage de cette initiative et retour sur la phase de mise en œuvre dans les Décodeurs ce matin.

mer. 12 nov. 2025
00H44m
Lancement dès demain du fond de soutien à l’investissement destiné aux TPE-PME

Le fond de soutien à l’investissement destiné aux TPE-PME sera lancé demain à Errachidia en présence du Ministre de l'Inclusion économiquede la Petite entreprisede l'Emploi et des Compétences du Marocdu Ministre du Commerce et de l’industrie et du Président de la CGEM. L’occasion pour Les Décodeurs de revenir sur la place des TPE-PME dans le Projet de Loi de Finances 2026, et plus largement dans la stratégie économique nationale : rôle moteur dans la création d’emplois, accès au financement, compétitivité et décentralisation de l’investissement.

Deuxième sujet :

Alors que la COP 30 s’ouvre à Belém, le Maroc affiche une nouvelle feuille de route pour le climat : la Contribution Déterminée au niveau National 3.0.

Cette stratégie fixe un cap fort : une réduction de 53 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2035 et s’inscrit dans la continuité des engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris.

Mais derrière cette ambition, une question demeure : comment transformer cette volonté politique en résultats concrets ?

Sortie du charbon, transition énergétique, adaptation à la sécheresse, financement international…

Avec en direct au téléphone, Professeur Abderrahim KSIRI, Président de L’Association des Enseignants des Sciences de la Vie et de la Terre du Maroc (AESVT Maroc)

Les débats express :

Cap sur l’industrie automobile marocaine et plus précisément sur le constructeur Neo Motors : Le constructeur a déjà suscité l’espoir : un SUV urbain, une usine à Aïn El Aouda, un showroom à Rabat, une volonté d’intégration locale, de fierté industrielle. I

l dévoile un projet audacieux présenté comme le tout premier véhicule électrique « 100 % marocain ». La Dial-E, un utilitaire électrique compact, attendu début 2026 à prix abordable (environ 100 000 dirhams) et promis « made in Morocco ».

Pourtant, derrière cette ambition se dessine une polémique : plusieurs analystes et internautes pointent que le design, les dimensions et même certains composants de la Dial-E sont très similaires à des modèles déjà fabriqués en Chine.

Invité : Salaheddine Nabigha, enseignant chercheur

Et en direct au téléphone Abdellah El Fergui, Président de la Confédération Marocaine de TPE-PME 

mar. 11 nov. 2025